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Les gens dans la rue

Les gens dans la rue. Ils sont souvent peu nombreux mais, leurs expressions en disent long sur eux. Il y a ceux qui avancent d’un pas défaitiste-la vie leur en prend toujours plus sans rien leur donner en retour, c’est à en devenir lassant. Il y a ceux qui avancent avec le courant de la vie, là où sa barque les mènent, ils y échouent sans trop se poser de questions, préoccupés par saisir l’instant. Il y a ceux qui essaient de dire oui quand bien même leur cœur s’y oppose et murmure autre chose-ils essaient d’être moins aigris maintenant, espérant dans l’après. 

Il y a ceux qui disent oui sans rien attendre en retour parce qu’ils ont compris que la vie, elle ne leur doit absolument rien, eux au contraire lui sont redevables, sous un certain angle de vue. Il y a aussi ceux de qui on prend rapidement pitié-souffrants en silence, semblant à eux seuls porter tout le poids de la terre-pourtant avançant d’un pas conquérant et fier ! Il y a ceux qui ont arrêté il y a bien longtemps de se demander pourquoi ? Et qui agissent en pensant plus au comment ou au qu’est-ce que ! Il y a enfin ces gens qui peuvent passer inaperçus presque invisibles et qui sont à la fois indéchiffrables, imprévisibles

Les gens dans la rue. Je les ai observés et je crois que j’ai tout vu. Aux rôles principaux (dans le désordre, bien-sur, général de mon cerveau) : un homme, sa mallette en mains-un vendeur de sachets d’eau-un adolescent, sac au dos-une femme et ses bébés-une jeune fille sur talons aiguille traversant la route-un cadre de banque se rendant à sa voiture-un monsieur en boubou, en route pour la mosquée et cet autre monsieur, capuche sur la tête yeux rivés vers le soleil au zénith… Et vous qui êtes-vous, de ces gens dans la rue ?

abj 2 Plateau (3) À bon lecteur salut !


À toi, fils de Koné

À toi, homme noir au pays des Blancs ;
Je te dédicacerais bien les premières pages d’un roman imaginaire, mais il me faudrait déjà lui trouver un titre imaginaire – c’est quand même beaucoup demander à mon imagination ;
Un roman-tu penses-non ? Tu me crois plus originale – je le sais ;
Tu m’as toujours dit : « Tu as une âme d’artiste, il faut que tu voyages » et mon cœur a suivi à la lettre ;
T’ai-je raconté ce que j’ai vu ? Les mots se baladant dans la nature et les chiffres s’affrontant dans les calculs

Encore mon esprit qui s’était envolé à mon insu ;
De là où je suis, j’observe et chaque jour, je voyage un peu plus, en moi ;
Tu avais exigé: « Ne néglige pas ton écriture ! »
Aujourd’hui, j’ai eu envie de t’écrire pour te dire ceci : les Hommes n’ont pas vraiment changé, quoique si, un tout petit peu – leur cœur s’est encore endurci ;
Le monde est en chute libre comme on nous l’a enseigné en cours de sciences physiques – je ne me rappelle plus exactement de la théorie – mais pour le moment ça marche, à la vitesse V ;
Certains craignent que ce ne soit déjà l’apocalypse –D’autres s’explosent, pressés de rejoindre le paradis ;
Dans mes moments d’incertitude, je fixe attentivement les étoiles – comme pour dire, à ceux qui ne sont plus « allez-y lisez dans mes yeux ce qui se passe sous les cieux, rattrapez-vous à travers mon regard » ;
Et je me surprends, souvent, à leur demander « Are we gonna make it ?»
Hier, j’ai vu une image sur laquelle il était écrit : « TAG SOMEONE WHO INSPIRES YOU »
J’ai tout de suite « freeze » comme un glaçon, j’avais beau cherché dans ma tête, aucune tête d’affiche – des modèles « oui » mais des sources d’inspiration? Me, myself and I ? Où serait-ce trop arrogant ?
Je me suis alors posé la question suivante – D., si tu écrivais un roman imaginaire, avec un titre imaginaire, dans un monde imaginaire, quel nom figurerait en page dédicace de l’ouvrage ?
Mes neurones ont tout de suite voté à l’unanimité pour ton nom, homme noir au pays des Blancs.

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Moi femme et la journée du 8 mars

La Journée internationale des femmes ou Journée internationale des droits des femmes (en anglais: International Women’s day) est célébrée le 8 mars de chaque année. (Soyons cependant très clairs à ce sujet : cette journée n’est en aucun cas, une continuité de la Saint-Valentin, encore moins une anticipation de la fête des mères).

Pour cette année 2015, l’Organisation des Nations unies a décidé de mettre l’accent sur la Déclaration et le Programme d’action de Beijing, une feuille de route historique signée par 189 gouvernements il y a 20 ans qui établit le programme d’action pour la réalisation des droits des femmes. Axé sur 12 domaines critiques, ce programme comporte une vision d’un monde où chaque femme et chaque fille peuvent exercer leurs choixBien que des progrès considérables aient été accomplis depuis, beaucoup de graves lacunes subsistent. À cette fin, le thème de la Journée internationale de la femme est le suivant :  « Autonomisation des femmes – Autonomisation del’humanité : Imaginez ! ». S’inspirant du thème international, la ministre de la Solidarité, de la famille, de la femme et de l’enfant en Côte d’Ivoire a inscrit comme thème au plan national : « Beijing+20 : bilan, défis et perspectives pour une Côte d’Ivoire émergente ».

Mais, que savons-nous exactement de cette journée (origine, histoire…), aujourd’hui célébrée à l’échelle internationale ? (Rien).

La journée du 8 mars trouve son origine dans les luttes ouvrières et les nombreuses manifestations organisées par les femmes, au début du XXe siècle, sur les continents américain et européen pour l’imposition et le respect de leurs droits. Le droit de vote, de meilleures conditions de travail, l’égalité entre les hommes et les femmes sont là quelques points de revendications majeures attribués à ces différents mouvements.

« En 1917, en Russie, alors que deux millions de soldats sont morts pendant la guerre, des femmes choisissent le dernier dimanche de février pour faire grève et réclamer «du pain et la paix ». » source Wikipedia

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À Abidjan, entre autres manifestations, un cross de la femme est prévu pour le samedi 7 mars. Plus d’infos par ici : https://www.facebook.com/pages/Cross-de-la-Femme/637265036335613

 C’est finalement en 1977, que l’Organisation des Nationsunies (ONU), officialise la Journée internationale de la femme et invite tous les pays membres à célébrer une journée pour les droits de la femme. Contribuant ainsi à mobiliser le soutien de tous pour l’implication des femmes dans la vie politique, économique et sociale.

Depuis lors, chaque 8 mars, les associations et groupes de femmes, un peu partout dans le monde, organisent des manifestations pour : dresser un bilan de leur parcours, appeler à des changements, faire aboutir leurs revendications, penser à améliorer leur condition de femme et aussi célébrer des femmes, qui par leur courage et leur détermination, ont posé des actes importants dans leur entourage, leur communauté et même au-delà de leurs frontières… 

« Femmes africaines, soyons des exemples, des modèles pour notre entourage, en accomplissant nos rêves, en libérant notre créativité, en impactant nos sociétés, même avec des ressources bien souvent limitées… »  extrait de mon article : https://beaucoupdenous.blogspot.com/2013/09/v-comme-vlisco-i-comme-inspiration.html#more

Aujourd’hui, moifemme et le 8 mars ? 

Aujourd’hui, moi femme, assise derrière le clavier demon ordinateur, j’écris cet article, en partie, grâce à ces femmes ordinaires (comme vous et moi), qui un jour sur un continent autre, ont posé un acte important dans leur communauté, leur pays ; qui a eu des répercussions sur le monde en général.

Aujourd’hui, moi femme, je dois prendre conscience du fait que chaque célébration du 8 mars est une alarme qui sonne pour me rappeler, qu’il y a encore du travail à faire pour améliorer les conditions des femmes, favoriser notre implication dans le tissu social et économique. La femme ne sera jamais l’égale de l’homme, tant qu’elle continuera à célébrer une journée du 8 mars. Des changements sont donc à penser, des initiatives, sont à mettre en place pour le respect de nos droits, ici et partout ailleurs. Et moi femme, je peux aussi et encore apporter ma pierreà la construction de l’édifice.

Merci à tous ces hommes, qui nous souhaiteront de passer une « bonne fête » ou qui nous offriront, par la même occasion, des présents. J’ose espérer, que cet article vous aidera à mieux orienter le soutien que vous apportez, car : « On est plus efficace à réaliser une tâche qui nous est assignée lorsqu’on on comprend avec exactitude la logique de la tâche en question, à effectuer. »

Toi, femme, et la journée du 8 mars ? Penses-y !

 BONNES FESTIVITÉS DU 8 MARS A TOUTES ET A TOUS !

 

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SOYEZ ZEN

Aujourd’hui j’ai un message pour vous, un message de la plus haute importance : SOYEZ ZEN !

Des problèmes vous en aurez tous les jours, les moments de joie vous ne les saisirez pas tous !

Alors pourquoi vous attarder à prendre les choses trop à cœur ? Surtout lorsque votre cœur, lui, n’y tient pas vraiment ?

Prenez le temps de respirer, d’être plus attentif à la vie, de faire les choses que vous aimez, avec les personnes qui vous sont chères ou pas !

Prenez le temps d’apprécier la vie et de rendre grâce pour ce que vous avez, en attendant ce que vous espérez;

Vous ne referai surement pas le monde aujourd’hui. Quoique avez-vous, au moins, une fois essayé ?

On vous ne le dira sûrement jamais assez : « le meilleur est en vous, parce que vous êtes unique tout simplement ! » Tâchez de vous en souvenir ;

La semaine dernière un Japonais m’a demandé, que dis-je insisté, pour que je lui indique la clinique dans laquelle je m’étais faite tatouer l’œil gauche;

Il le trouvait juste trop beau et voulait s’en faire le même ; Il a été très déçu et désolé, lorsque je lui ai appris que c’était les séquelles d’une opération qui avait plutôt mal tournée !

L’acceptante de soi, vous permettra de réaliser bien des exploits. C’est définitivement l’une des plus grandes réussites de la vie ;

Demain vous ne serez sûrement plus là, mais aujourd’hui vous l’êtes, c’est le moment d’en prendre conscience et d’agir en conséquence !

Aujourd’hui j’ai un message pour vous, un message de la plus haute importance : SOYEZ ZEN !

Peu importe ce qui vous arrive « Souriez à la VIE. Elle sera peut-être timide au début, mais à force,  un jour ou l’autre, elle sera bien obligée de vous rendre la pareille ;

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À bon lecteur salut !


IN’OYA était à Abidjan

UNE RENCONTRE : le vendredi 05 décembre 2014, nous assistions au lancement de la gamme IN’OYA en Côte d’Ivoire, au sein de l’hôtel IVOTEL (Plateau-C.I.). Initialement prévue pour 9h00, la rencontre a effectivement démarrée à 10h00 (pour cause, les ivoiriennes conviées à l’événement accusaient du retard pour certaines ou un empêchement de dernière minute pour d’autres). Un jeu-concours « tirage au sort » avait auparavant été lancé, à cette occasion, sur la page Facebook du laboratoire IN’OYA. Plus de 800 personnes s’étaient librement prêtées au jeu. Ce ne sont finalement que 50 personnes qui ont été retenues pour participer à la rencontre, les invitations officielles et nominatives reçues par mail quelques jours avant l’événement (moi qui n’ai pas pour habitude d’être chanceuse au jeu de hasard, ça par exemple!).

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Carton d’invitation
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Échantillon du produit IN’OYA anti-taches offert à chaque participante.

Introduite par la directrice marketing, Laïla MKIMER, cette rencontre qui a rapidement pris la tournure d’une séance de formation, s’est déroulée selon le programme suivant :

  • présentation de la marque IN’OYA (les fondements)
  • Quels sont ses produits ?
  • Pourquoi ses produits sont-ils efficaces ?
  • Un diagnostic gratuit de la peau, pour toutes les participantes ;
  • Proposition d’un protocole soin approprié à chaque type de peau ;
  • Mot de fin & Cocktail ;
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la Directrice marketing d’IN’OYA, Laïla MKIMER, derrière le pupitre.

POURQUOI IN’OYA ? Ce fut ensuite autour du fondateur et président d’IN’OYA, M. Abd Haq BENGELOUNE, de prendre la parole. D’origine sénégalaise, ingénieur biomédical de formation et Docteur en biologie, il a effectué tout son parcours dans les centres de recherches biologiques en France. L’idée lui est venue de créer les produits de la marque IN’OYA, par un éveil de conscience. En effet, ce dernier s’est dit très frustré de n’avoir eu à étudier tout au long de son cursus, qu’ à majorité des peaux blanches. Pendant ce temps, sa sœur et sa mère africaines de peau noire, galéraient pour faire disparaître une tache ou un bouton sur leur visage, faute de produits parfaitement adaptés au type de peau. De plus, la dépigmentation artificielle, due souvent à un lavage de cerveaux de l’entourage proche ou des médias, qui prône une beauté en relation avec la peau blanche… Toutes ces raisons parmi tant d’autres l’ont poussé en 2011, à créer le laboratoire IN’OYA. Un laboratoire spécialisé dans le développement et la recherche sur les problématiques de peaux noires et métisses, basé en France.

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Le fondateur et président d’IN’OYA, M. Abd Haq BENGELOUNE.

QUE SIGNIFIE IN’OYA ? Le terme IN’OYA peut se décomposer de la manière suivante IN = Innovation et OYA= une déesse yoruba, qui symbolise la force.  L’objectif d’IN’OYA c’est de faire en sorte que la femme se sente bien dans sa tête, dans son corps et donc bien dans la société, car IN’OYA croit en la force féminine et en ses prouesses. (Sur 10 employés au laboratoire IN’OYA, 9 sont des femmes). 

À PROPOS DES PRODUITS IN’OYA : le laboratoire a 3 produits à son actif : le sérum anti-taches, le soin hydratant, et le soin matifiant. Le sérum anti-taches traite l’eczéma, l’acné (sur les peaux blanches, l’acné se matérialise par une petite rougeur qui disparait au bout de 2 à 4 semaines sans laisser de traces, dans le cas de la peau noire il faut compter minimum 3 à 4 ans). La durée définitive de traitement est de 1 mois pour l’acné et les boutons qui datent de moins de 3 ans. Il en est de même pour les taches de cicatrisation, les brûlures et autres problèmes de la peau noire (Il faudrait évidemment bien plus de temps, pour résoudre des problèmes de peaux qui datent d’assez longtemps).Une nuance importante à faire : « IN’OYA ne traite pas encore les cicatrices » (les cicatrices sont différentes des taches de cicatrisation).

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Les produits de la gamme IN’OYA.

Le besoin des peaux mixtes à grasses est de pouvoir matifier la peau, resserrer les pores, absorber l’excès de sébum. Le besoin des peaux sèches est de pouvoir hydrater la peau au maximum. Besoins auxquels répondent les deux autres produits de la gamme IN’OYA : les soins hydratant (pour les peaux sèches) et matifiant (pour les peaux mixte à grasse).

QUE SAVEZ VOUS DE LA PEAU NOIRE ? Il est très intéressant de savoir et d’avoir, toujours selon les propos de M. BENGELOUNE, les informations que voici :

  • une peau noire ne protège absolument pas du soleil contrairement à ce que l’on pourrait penser ou imaginer. Toutes les études de peaux qui ont été faites ont prouvé que nous (noirs, jaunes, blancs) avons tous la même  épaisseur de peau sur le corps et c’est archi faux de penser que la peau noire est la plus dure. Des études sur des chutes de peau en essai de traction ont montré que la peau noire est la plus fragile, c’est elle qui casse le rapidement.
  • Il nous faut donc être très exigeant avec les produits que nous achetons et utilisons sur notre peau. le docteur BELEGOUNE a de ce fait insisté que dis-je exigé d’inclure dans notre protocole de soin, les crèmes solaires adaptées aux peaux noires (SPF 30 ou SPF 15 (si vous transpirez beaucoup plus) .
  • Une peau noire est belle, elle vieillit tardivement mais elle est dérégulée. Nous avons en général la peau du corps qui est plus sèche que celle du visage. Raison pour laquelle les gommages du corps sont à espacer au maximum pour ne pas fragiliser et agresser notre peau qui est déjà sèche . (On se gratte maximum 1 fois par semaine avec un gant de crin (utilisé pour le gommage)).
  • Sur le visage par contre à 80% nous avons une peau mixte voire grasse, il nous faut donc faire un distinguo entre la peau du corps et celle du visage. Le bouton c’est juste du sébum (film huileux sécrété naturellement par la peau ou le cuir chevelu) qui n’arrive pas à sorti,il nous faut  donc penser à plus souvent gommer notre visage plutôt que notre corps. Et lorsque nous mettons des crèmes et autres produits nourrissants dans nos cheveux, pensons à protéger notre front car par capillarité les produits de cheveux,coulent sur le front, et sont également la cause de bouton sur cette zone du visage.
  • La différence entre une crème et un lait ? Quand il y a plus d’huile que d’eau on parle de crème et le contraire de lait.

DIAGNOSTIC DE LA PEAU : Après cet échange chaleureux, que nous ne souhaitions aucunement voir s’arrêter, tant nos lacunes en connaissances dermatologiques s’avéraient grandes, nous sommes ensuite passés au diagnostic de la peau. Chacune des participantes à tour de rôle, s’est prêtée à l’exercice. À l’aide d’un appareil, appelé le « OYA SKIN DIAG » (le 1er appareil de diagnostic spécifique aux peaux noires et mates) nous avons pu savoir la quantité d’huile et d’eau contenue sur le visage ainsi que notre typologie de peau. À la suite de quoi, des protocoles de soins nous ont été délivrés:

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Appareil de diagnostic de peau.
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En plein séance…

PROTOCOLES DE SOINS :

  • Protocole peaux sèches : les peaux sèches sont des peaux qui en général, sont très lisses au toucher. Elles n’ont pas de boutons, mais vieillissent très rapidement (rides, vieillissement précoce comparativement aux autres types de peaux). Pour ce type de peau, il est conseillé de boire beaucoup d’eau, de faire des cures d’hydratation (solutions vendues en pharmacie)… C’est une peau qui manque de sébum, donc une peau terne de visu.  Le protocole à suivre est le suivant :

                    – un démaquillage au quotidien, avec de l’huile ou de l’eau démaquillante, évitez tout ce qui peut être agressif pour votre peau. 

                   – Gommage : grand maximum 1e fois par semaine ou  1e fois toutes les 2 ou 3 semaines. La peau étant déjà sèche pas besoin de l’agresser encore plus. Utiliser des produits gommant tels que l’argile blanche ou autres produits de gommage adaptés.

                   – Utiliser ensuite, au quotidien, un soin visage hydratant. Que ce soit celui d’IN’OYA ou un autre soin hydrant d’une autre marque,  il est important de vérifier que certains de ces éléments : urée, glycérine, céramide végétale, xylitol, glycérol… figurent bien dans la composition du produit hydratant acheté.

-enfin terminer le protocole de soins par appliquer l’huile solaire SPF 30.

  • Protocole peaux normales à mixtes : une peau normale à mixte est souvent appelée « peau de bébé ». C’est une peau qui est douce au toucher , elle produit une grande quantité de sébum élevée mais cette quantité n’est pas excessive dermatologiquement parlant.  Le protocole à suivre est le suivant :

– un démaquillage quotidien au lait ou au gel démaquillant (moussant nettoyant, léger) ;

– Gommage 1e fois fois par semaine ;

– application au quotidien d’un soin matifiant .Vérifier que certains de ces éléments : silice, poudre absorbante, céramides végétales… figurent bien dans la composition du produit matifiant ;

-enfin terminer le soin par l’application de l’huile solaire SPF 30 ;

  •  Protocole peaux grasses : une peau grasse est une peau qui ne sera jamais ridée mais qui aura tout plein de boutons, de pores dilatés, une grande quantité de sébum sécrétée au quotidien. Pour l’ entretenir il faut :

– un démaquillage quotidien au gel ou à la mousse

– Gommage : 2 ou 3 fois par semaine + gommage hebdomadaire à base d’acide de fruits (1e fois par semaine)

-application au quotidien du soin matifiant. S’assurer que certains de ces éléments : zinc, silice, myrtacine, vitamine b6... figurent dans la composition du produit;

– enfin appliquer une huile solaire SPF30 à choisir en fonction du type de peau (choisir huile sèche).

CONCLUSION: C’est aux environs de 13h00 que la rencontre a pris fin, sur le mots de remerciement du président fondateur et de toute son équipe. Il s’en est alors suivi, des échanges et partages autour d’un cocktail dressé pour l’occasion. En définitive, cette approche fut belle. Bien au-delà de l’aspect publicitaire et marketing, cette rencontre a fait office d’une véritable séance de formation sur la peau, ses problématiques et solutions pour un meilleur entretien au quotidien. Une très belle initiative à renouveler dans d’autres circonstances, pour mieux informer et former ceux qui ne demandent qu’à savoir …

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Cocktail de fin…

Ps : Pour les problèmes de dépigmentation de la peau, prière prendre contact avec l’équipe d’IN’OYA, pour un suivi psychologique et des conseils à l’aide de soins pour retirer les taches les plus récalcitrantes. Le sérum IN’OYA anti-taches est vendu au prix de 26 mille FCFA et le les soins hydratant et matifiant sont au prix de 22 mille FCFA, chacun.  « Les produits coûtent très chers » a dit  M. BELEGOUNE, « c’est pourquoi il faut les utiliser de façon économique. Une simple application locale suffit, pas besoin d’en mettre des tonnes. De plus, la peau met entre 22 et 30 jours, au minimum, pour se renouveler. Il ne faut donc ne pas espérer un miracle sur la peau avant cette période, quel que soit le produit utilisé. Une fois que votre tâche est partie, arrêtez d’utiliser le sérum, a-t-il aussi conseillé. »

 La liste des pharmacies partenaires de INOYA en Cote d’ivoire.

INOYAÀ bon lecteur salut !

 


Alerte enfants en danger

Depuis 2 à 3 mois environ, un phénomène prend de l’ampleur chez moi en Côte d’Ivoire, il s’agit de celui de l’enlèvement et de l’assassinat d’enfants. Les causes rattachées à ce phénomène déjà connu de tous, sont diverses, mais celle qui revient le plus souvent : des personnes avides de pouvoir, d’argent n’hésitent pas à enlever et à offrir en sacrifice ces enfants sur demande de leurs marabouts ou féticheurs. De nombreux cas ont déjà été dénoncés dans la ville d’Abidjan et dans celles de l’intérieur du pays. Que faire face à la recrudescence de ce phénomène qui ne laisse personne indifférent et qui nous rend parfois si impuissants ?

Ce matin au cours d’une émission sur une radio locale, une dame interrogée au micro, se plaignait de ce que, certaines valeurs avaient disparu de nos communautés africaines. Elle insistait sur le fait que la solidarité communautaire était en train de disparaître pour laisser place à un individualisme collectif. L’enfant des autres, c’est également notre enfant, l’éducation d’un enfant c’est l’affaire de tous, autant celle de ses parents que d’un voisin du quartier qui a vu cet enfant grandir. Tels furent ses mots. Toujours dans la même émission, la directrice d’un complexe socio-éducatif a donné en exemple ces cas que je cite : « un enfant de 14 ans a livré sa petite sœur de 3 ans à des « brouteurs » contre une somme de 2, 5 millions de F CFA qui lui aurait été promise (200 000 F CFA lui avait déjà été versé comme avance). Autre cas, celui d’un père famille qui a intercepté à temps son fils adoptif, qu’il avait lui-même recueilli et scolarisé, alors que ce dernier s’apprêtait à enlever sa fille de 2 ans pour la livrer à des inconnus, monnayant une certaine somme d’argent . » Tout ceci pour dire que le danger peut venir de nos proches, manipulés ou non, ou de personnes extérieures à notre entourage. La vigilance est donc de mise.

Les campagnes sur les réseaux sociaux ne se sont pas fait attendre. Depuis le début des événements, les informations sont relayées au maximum et autant que possible via Facebook, Twitter, pour essayer de retrouver les enfants enlevés. Plus récemment, une vague de ruban jaune a fait son apparition, en signe de protestation contre ces enlèvements insensés. Pourquoi plonger les parents dans une terreur si grande que celle de voir son enfant disparaître à tout jamais, ces bouts de chou si innocents ?

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Le ministère de la Solidarité en collaboration avec le ministère de l’Intérieur, de la Défense et de la Communication s’est lancé dans une campagne de sensibilisation massive « de bouche à oreille ». Un numéro d’urgence a été mis en place pour signaler tous les cas suspects : appelez le 116. En attendant d’autres mesures et actions concrètes de la part de nos autorités gouvernementales, il nous revient à nous citoyens (lambda) de nous mobiliser et sensibiliser au maximum notre entourage. Des gestes simples, mais importants que l’on peut déjà faire :

– chez nous à la maison : en parler à nos enfants et à ceux qui s’en occupent pour nous lorsque nous sommes absents, les informer de la situation et leur donner des consignes strictes ;

– au niveau des écoles : s’assurer que les enfants sont déposés et récupérés par leurs parents ou accompagnateurs respectifs connus de tous ;

– dans les quartiers: mobiliser, sensibiliser les riverains sur le phénomène, ne pas laisser les enfants jouer sans surveillance, être plus attentifs, plus vigilants à nos enfants mais également aux enfants d’autrui ;

Et encore dans les marchés, les églises, les mosquées : dénoncer et prendre les mesures qui s’imposent, ne seraient-ce que minimales, pour refréner ce phénomène qui gagne du terrain.

Lorsque cela arrive aux autres tout ce que l’on peut dire c’est « qu’on est désolé », mais lorsque cela nous arrive à nous, il nous faut y  faire face du mieux que l’on peut. Mettons-nous en état d’alerte nos enfants sont en danger. Faisons passer le message. 

#AlerteEnfantsenDanger

ENFANT


Bébé-land…

La semaine dernière, en balade, j’ai passé une demi-journée avec un bébé et j’ai appris des choses de grands. Un bébé, ne parle pas un langage connu de tous, mais émet énormément de sons et la plupart du temps, lorsque quelque chose ne tourne pas rond. Une couche mouillée, le ventre creux, un bobo, des caprices…Peut importe, l’essentiel étant de faire un maximum de bruits, d’attirer l’attention pour permettre de trouver une solution efficace à son problème. Un bébé ne se laisse pas blaguer aussi facilement. « NON, je ne porterai pas de cet horrible chapeau que tu veux m’obliger à mettre, NON je ne mettrai pas cette chaussure pour paraître aussi beau que tu le voudrais ». Un bébé n’utilise certes pas un langage connu de tous,  mais sait dire NON à ce qu’il n’aime pas ou à ce dont il n’a pas envie, et il arrive tant bien que mal à se faire comprendre.

De retour à la maison, confrontée à une situation, face à laquelle je me sentais impuissante, je me suis remise à penser à ce bébé. Ce bébé qui malgré le fait qu’il ne sache pas encore s’exprimer, comme il se doit, avait déjà le courage de dire NON. Une tonne d’interrogations me virent alors à l’esprit : À quel moment nous sommes-nous perdus ? Quand avons-nous cessé de penser juste, d’aller envers et contre tous, de croire en nous ? Quand est-ce que nous, grands, avons cessé d’avoir ce courage d’enfant ? Pourquoi fermons-nous les yeux lorsque nous pensons plutôt devoir agir ? Quand avons-nous adoptés d’être faux envers nous, envers les autres ? Quand avons-nous décidé d’arrêter d’essayer ? Quand avons-nous cessé d’être juste, Nous ? 

La semaine dernière, en balade, j’ai passé une demi-journée avec un bébé et j’ai appris des choses de grands, beaucoup de choses de grands…

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À bon lecteur salut !


L’épisode du pont HKB

Bonsoir, bienvenus chez moi. Chez moi-c’est chez vous, comme je vous l’avais signifié au tout début de cette aventure Mondoblog. Pour ceux qui ne s’en souviennent pas, chez nous c’est à Abidjan, plus précisément en Cote d’Ivoire, ce pays de l’Afrique de l’Ouest, qui vise l’émergence en l’an 2020 (ce sujet fera l’objet d’un autre article, n’insistez pas svp).

Oyé Oyé peuple de la république très très démocratique de Cote d’ivoire, si vous mangez arrêtez de manger, si vous regardez vers la Haye, recentrez votre regard sur Abidjan. Le mardi 16 décembre 2014, il y a eu une grande fête, dans la partie sud de la capitale économique Abidjan. Et pour cause, notre chère patrie, inaugurait son troisième pont, et non des moindres, le pont Henri-Konan-BEDIE (du nom du deuxième président de la C.I.). Autant nul n’est censé ignorer la loi, autant aucun habitant de ce pays n’était censé ignorer qu’il y aurait une cérémonie d’inauguration et l’ouverture prochaine d’un nouveau pont à péage en Cote d’Ivoire. Un tapage médiatique, qui n’ a pas du tout caché son nom, (radio, télévision, médias sociaux, Panneaux et affiches publicitaires…) a servi de relais d’informationsTout le monde a été servi, souvent même un peu trop servi (décompte sur la RTI JJ -).

Pour être en phase et en fête, il fallait déjà être informé, mais aussi avoir acheté son pagne pont HKB, spécialement en vente pour l’occasion. La fête fut belle, à ce qu’il parait, de 16h à 21h (retranscrit en direct à la télévision et sur le site internet de la RadioTélévision Ivoirienne, impossible de rater l’événement, mais c’est à croire que je l’ai fait). Il y a eu des prestations d’artistes, dont le célèbre groupe Magic System (notre troisième référence mondiale, après Drogba Didier et Alpha Blondy) et des feux d’artifice (dans la catégorie de ceux que l’on prend pour des détonations d’armes à feu)Fait hasardeux et non négligeable pour certains, la date du 16 décembre, marquait également la date anniversaire de la première dame de la Cote d’Ivoire (la Fanta Gbè nationale ou la douce colombe, comme l’appelle affectueusement le peuple). On pouvait de ce fait lire sur les réseaux sociaux certaines phrases dans le style : « Il offre un pont à sa dulcinée le jour de son anniversaire et puis son cœur ne bat pas » (si vous avez deviné de qui il s’agit, il n’y a donc pas grand-chose à rajouter).

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Le pagne HKB

Ps: Prière avertir la grande famille DUPONT, du coté de la France surement, qu’elle compte de nouveaux membres à son actif. En effet, tous ceux qui auraient contribué d’une manière ou d’une autre à la réalisation de cet ouvrage se sont vus automatiquement affubler du nom DUPONT, exemples : ADO-DUPONT, HKB-DUPONT …

Pour en revenir à l’ouvrage à proprement dit, le pont Henri-Konan-Bédié est un pont autoroute à péage. Il mesure entre 1,5 et 2,7 km de longueur, en voies de 2×3 ou 2×2, selon la partie empruntée. Il a pour but de réduire le trafic routier et de faciliter les trajets entre les communes de Cocody et Abidjan sud. Cet ouvrage a coûté près de 152 milliards de FCFA (232 millions d’euros). La durée des travaux est estimée à 38 mois (une chose est sure le pont fut livré à temps, bien avant le discours annuel du président à la nation ivoirienne, le 31 décembre au soir). N’oublions pas de mentionner que le slogan du pont est le suivant: « le pont un jour, le pont toujours » (ça fait rappeler le slogan d’Orange pour l’Equipe nationale « supporter un jour, supporter toujours », mais bon passons). Le passage sur le pont est gratuit durant la période du 20 décembre 2014 au 02 janvier 2015 (après il faudra payer les amis, les crédits ça se rembourse, Bouygues ce n’est pas L’ONU svp).

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Une vue du pont HKB

Je termine enfin, par la question à 1000 points concernant le pont : le prix ? Et bien laissez-moi vous apprendre que le voile est enfin tombé, le mystère autour du prix a pris fin cet après-midi, lors d’une conférence de presse.

  • Les tarifs du péage : 

1)Véhicules de tourisme: 500F/passage
2) Véhicules de transport: 1500F/passagae
3) Poids lourds: 3000F/passage.

  • Les trois moyens de paiement possibles :

1/ En espèces au poste de péage
2/ Par télécarte rechargeable
3/ Par téléphone mobile à travers les cartes de recharges

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Dépliant explicatif – fonctionnement du péage.

Ceci étant dit, il parait que : L‘État travaille pour nous, donc allons-y seulement ! Mon frère, pardon si le pont peut te soutra*, il ne faut pas trop faire gros cœur, il faut passer dessus (après dans ta chambre, dans la rue, sur internet si tu veux, tu vas maudire le gouvernement, mais pardon passe d’abord).

À bon lecteur salut !

te soutra* = t’arranger, faire ton affaire


Craniopharyngiome: Jean-Lael a besoin de notre aide

Ce billet est pour ce petit garçon, Jean-Laël, âgé d’environ trois ans. Un enfant comme le  vôtre ou le mien, se plaignant il y a quelques mois de cela, de céphalées horribles à répétition et posant des gestes abstraits qui dénotait de la présence d’un trouble visuel aigu. Conduit à l’hôpital pour une consultation ophtalmologique et des examens approfondis, un scanner cérébral et une IRM (imagerie par résonance magnétique) de son cerveau ont permis de diagnostiquer un craniopharyngiome .

Le craniopharyngiome est une malformation tissulaire embryonnaire (c’est-à-dire apparue avant la naissance) de la région hypophysaire. Les raisons de cette malformation sont encore inconnues. La tumeur, souvent kystique, est visible à l’IRM (imagerie par résonance magnétique) et de nature bénigne. Les Symptômes sont généralement les suivants:

– Déficit hormonal

– Baisse de l’acuité visuelle

– Polyurie (uriner plus de 10l/jour)

– Polydypsie (boire plus de 8l/jour)

– Troubles du champ visuel

 – Céphalées importantes à répétition

– Retard de croissance

– Retard de puberté

– Vomissements répétés

JL

Le traitement d’un craniopharyngiome nouvellement diagnostiqué est essentiellement chirurgical. La décision de la technique opératoire (voie d’abord, exérèse complète ou partielle) dépendra des caractéristiques de la tumeur. (source https://fr.wikipedia.org/wiki/Craniopharyngiome)

L’opération chirurgicale pour aider Jean-Laël à se rétablir coûterait 5 millions de FCFA TTCselon l’avis des différents médecins rencontrés. Sa famille n’a malheureusement pas les moyens de payer pour les frais de l’opération. Et sa mère désespère de voir son enfant, perdre la vue chaque jour qui passe, sans pouvoir réagir comme il se doit. Ce billet est pour ce petit ange, ce billet requiert toute notre attention et notre sollicitude.

Aidons à sauver cet enfant, parmi tant d’autres qui souffrent en silence, souvent fautes de moyens financiers. Faisons passer ce message, autant que possible, de sorte à ce que ce billet atteigne toute personne capable d’aider de quelque manière que ce soit cette famille. N’oublions pas qu’un jour ça peut être nous en situation difficile, donc essayons d’aider tant que nous le pouvons. Changer le monde c’est aussi prendre soin de tous ceux qui nous entourent. Les contacts de la mère et du père sont les suivants : 01-30-70-99 ; 07-53-50-67 (pour plus de renseignements…).

Parce qu’un peu de vous et un peu de moi, peut sauver beaucoup de nous… Je nous remercie à l’avance pour tous vos efforts. Que Dieu vous bénisse et continue de vous prendre sous son aile, à l’orée de cette nouvelle année, 2015.

Les nouvelles sont mauvaises en ce sens que la tumeur du petit Lael, selon les résultats du dernier IRM a encore grossie. Une collecte de fond (crowfunding) a été mise en place. Merci de faire vos dons sur le lien suivant :  https://www.leetchi.com/c/solidarite-pour-jean-lael-cote-ivoire


Chez Régis Glacier

Le samedi 15 novembre dernier, sous un soleil dont seule la ville d’Abidjan a le secret, nous (moi et d’autres fins gourmets) nous sommes rendus à une séance découverte-dégustation au « Régis glacier ». Si, vous n’y avez jamais mis les pieds, j’espère que ces quelques lignes vous aideront à vous décider.

Régis Glacier c’est ce nouveau glacier en vogue à Abidjan (Cote d’Ivoire). Situé aux deux-plateaux, sur le boulevard Latrille, en face de l’E.N.A., c’est un endroit charmant qui nous a accueillis pour l’occasion. Le local se compose d’un intérieur climatisé, d’une terrasse et d’un beau jardin aménagé avec des tables, des chaises et des parasols personnalisés.

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Intérieur salle climatisée

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Intérieur salle climatisée
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Aperçu de la terrasse et du jardin
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Aperçu de la salle d’eaux…

C’est très agréablement que le manager, M. Pierre TAVARES, s’est prêté à un échange questions-réponses, afin de satisfaire notre curiosité. Pour la petite histoire, RÉGIS GLACIER (du nom de son propriétaire) est présent depuis 4 (quatre) ans maintenant, à Dakar au Sénégal, et c’est dans un souci d’expansion et de partage de savoir-faire, que ce glacier a posé ses valises à Abidjan, en juin 2014.

RÉGIS GLACIER, selon les dires de son manager, répond aux normes internationales de crèmes glacées et glaces. La confection de leurs glaces, se fait d’ailleurs sans oeufs. Une multitude de parfums, tous aussi délicieux les uns que les autres, mais surtout (ce que j’appellerai un plus) des glaces très originales. Une grande variété à base de biscuits (cookies, oreo…) ou encore à base de fruits locaux (cocota, passion…). RÉGIS GLACIER, est également le premier glacier qui propose des « glaces light » pour les personnes suivant un régime ou autres (vous êtes désormais prévenus, plus besoin de vous priver de ces envies gourmandes).

C’est donc dans une ambiance conviviale et bon enfant, que nous découvrions ce nouvel endroit. Autorisés à commander trois parfums de glace au choix, des crêpes ou des gaufres pour accompagner , nous ne nous sommes pas du tout fait prier ! Et le coup de cœur de la majorité s’est porté sur le parfum « caramel au beurre salé » (tellement fondant et agréable, n’hésitez pas à tester, à votre prochain passage. C’est un vrai délice pour le palet !). 

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mes parfums choisis : Passion – Myrtille – Cookies
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Gaufre Régis…
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Crêpe Régis…

Ps: Une suggestion à l’équipe de Régis glacier serait que les crêpes au nutella ont bon goût, mais elles seraient encore meilleures avec une bonne sauce chocolat noire fondue ..

Autres infos utiles : le glacier est ouvert du lundi au Jeudi de 10h à 23h et du vendredi au dimanche jusqu’à minuit (00 h) voir plus. En partenariat avec hellofood, leurs produits sont livrables à domicile via la plateforme www.hellofood.ci.

La qualité a toujours un coût, comme le on dit ! C’est également le cas chez Régis Glacier. La carte de menu (plus bas), vous aidera à mieux vous orienter, quand à votre prochain passage… Nous nous avons aimés et nous y retournerons car comme l’a signifié l’une d’entre nous, « les glaces de chez Régis sont trop bonnes et en plus ça rassasie, à un point !. Je vous laisse tester, vous m’en direz des nouvelles. Sur ce :

À Bon Lecteur…Salut !

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Carte Menu…
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Grand Merci à la Direction Générale pour les efforts…